mardi 19 mars 2013

laurent Lamothe parle de succes pour sa derniere visite dans la caraibes!

Lors d'un point de presse, le chef de la Villa d'acceuil,  Laurent Salvador Lamothe a dressé,  un bilan positif de sa visite à Aruba et aux îles Turks-et-Caicos, les 14, 15 et 16 mars 2013. 
          
Cette tournée qui a permis de raffermir les liens d’amitié et de solidarité avec ces deux pays, a donné l’occasion au Premier ministre d’envisager la possibilité d’établir de nouveaux partenariats, notamment dans les domaines du tourisme et des infrastructures.Le Chef du Gouvernement a également entrepris un dialogue constructif avec ses compatriotes haïtiens vivant sur ces îles, dans le but de s'informer des difficultés auxquelles ils font face, afin d'en apporter des solutions immédiates et pérennes.À l'issue de sa rencontre avec la presse, le Premier ministre a réitéré son engagement de continuer à explorer des pistes de coopération avec les pays de la région, en vue de permettre à Haïti de renforcer ses rapports commerciaux au niveau du bassin des Caraïbes.

Un debat en profondeur sur la loi sur le blanchiment d'argent et le finacement du Terroriste!


De l’utilité et de l’opportunité du projet de loi sanctionnant le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme


Il n’existe pas de société qui ne soit pas criminogène. En dépit des courants divers qui traversent la criminologie comme discipline scientifique de la famille des Sciences Sociales et Humaines, les criminologues sont unanimes à acquiescer à cette affirmation. La criminalité est donc inhérente à la société. Il y a une relation dialectique dans le sens classique du terme entre la société et la criminalité.  La société doit se donner les moyens qui puissent lui permettre de combattre la criminalité dans la mesure où celle-ci met en péril son existence alors que la criminalité elle-même doit s’adapter à  la dynamique sociale pour mieux exploiter ses faiblesses. La criminalité est un parasite dont l’existence est subordonnée à celle de la société. Cela traduit donc une dynamique permanente de conflit entre la société et la criminalité, entre l’Etat et les criminels.

 
Nécessité et utilité


Le blanchiment de capitaux (des avoirs) et le financement du terrorisme représentent aujourd’hui, parmi tant d’autres, les deux formes de criminalité qui menacent le plus la stabilité de la grande société occidentale à laquelle appartient la Première République Nègre du monde, Haïti, notre très chère patrie. En d’autres termes, nous ne sommes pas insensibles au danger que font planer le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme sur la stabilité internationale. D’ailleurs, Haïti, Etat faible, selon la catégorie utilisée par André Corten, est de loin plus fragile que les Etats-Unis, la France, l’Allemagne, le Canada, l’Angleterre, la Russie, la Chine, qui, eux-mêmes, disposent d’un appareillage organisationnel apte à leur permettre de défendre convenablement leurs concitoyens et leur territoire. Bref, il n’y a absolument pas de débat sur la nécessité et l’utilité d’un cadre légal approprié à la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Nous ne sommes pas en train de mettre en débat le bien-fondé de l’initiative du Sénateur Jocelerme Privert qui a eu l’intelligence de proposer au parlement haïtien, institution républicaine à laquelle nous sommes fiers d’appartenir, ce projet de loi (puisqu’il a été tout d’abord soumis par le Gouvernement) visant à doter la société haïtienne d’un instrument juridique indispensable à la lutte contre la criminalité financière organisée. La vision et les considérations qui caractérisent cette œuvre dépassent largement les frontières qui sont les nôtres. Evidemment, il convient de faire remarquer que nous ne sommes pas à notre coup d’essai dans le combat de la communauté internationale destiné à freiner la criminalité moderne menaçant la stabilité des Nations et la paix des peuples. D’ailleurs, la loi du 22 août 1912 portant sur l’extradition, les décrets du 4 février 1980 et du 26 octobre 1983 sanctionnant respectivement la convention pour la prévention et la répression des infractions contre les personnes jouissant d’une protection internationale y compris les agents diplomatiques et celle pour la répression de la capture illicite d’aéronefs, le décret du  26 octobre 1983 sanctionnant la convention pour la répression d’actes illicites dirigés contre la sécurité de l’aviation civile, le décret du 18 octobre 1984 sanctionnant la convention internationale contre la prise d’otages, le décret du  4 septembre 1980 ratifiant la convention des Nations Unies contre le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes, adoptée à Vienne le 19 décembre 1988, le décret du 19 décembre 2000 portant ratification de la convention interaméricaine contre la corruption signée le 17 octobre 1997, la loi du 21 février 2001 relative au blanchiment des avoirs provenant du trafic illicite de la drogue et d’autres infractions graves, le décret du 16 février 2005 ratifiant la convention interaméricaine contre le terrorisme, adoptée le 3 juin 2002, le décret du 12 mars 2009 sur l’enlèvement, la séquestration et la prise d’otages de personnes, sont des éléments précis et raisonnables témoignant de  l’engagement de la République d’Haïti, membre fondateur des Nations Unies, aux côtés des Autres dans la lutte incessante pour la sauvegarde de la stabilité internationale. Ce projet de loi est conforme aux engagements pris par Haïti auprès des institutions financières internationales dont la mission consiste à mettre de l’ordre dans les finances de l’humanité.  Cela passe indiscutablement par la moralisation de la finance internationale. Il s’agit, à ce niveau, pour Haïti, de mettre le secteur économique et financier à l’abri de l’argent de provenance illicite. Les institutions économiques et financières, partenaires d’Haïti, reconnaissent que l’introduction de l’argent sale dans l’économie d’un pays représente une menace majeure pour la stabilité et la réputation de ses finances. De plus, le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme peuvent contribuer à l’effondrement de l’Etat dans la mesure où leur présence ne fait que l’affaiblir et le discréditer, le déshonorant aux yeux de ses partenaires internationaux. Bref, une loi sanctionnant le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme répond à une nécessité patente pour l’Etat d’Haïti, considéré, à tort ou à raison, comme un mauvais élève à l’école des finances publiques.

 

L’opportunité

 

Le vote d’une loi est une décision politique dans toutes les sociétés humaines. En matière de décision, en règle générale, il y a, au moins, deux paramètres qu’il convient de considérer : la nécessité (le besoin) et l’opportunité (le momentum).  Comme nous l’avons déjà fait remarquer, il n’y a pas de réserve sur la nécessité d’un tel projet. Cependant, son opportunité reste et demeure la question fondamentale qui doit être débattue dans un débat national. Le parlement haïtien, institution représentative de la Nation Haïtienne, a la responsabilité historique et morale d’utiliser sa proximité avec le pays pour mieux alimenter les discussions à un moment où des secteurs clés de la vie nationale commencent à exprimer leur appréhension sur l’opportunité pour Haïti de se doter d’une loi de cette nature et de cette envergure. Le peuple haïtien continue de porter dans son âme révolutionnaire les cicatrices des nombreuses violations de la souveraineté nationale résultant d’un traité bilatéral relatif à la lutte contre le trafic de la drogue paraphé entre Haïti et le gouvernement américain. En exécution de ce traité, des Haïtiens, pour la plupart des parlementaires en fonction et grands fonctionnaires de l’Etat ont été arrêtés sur le sol dessalinien et transportés aux Etats-Unis en violation de la constitution consacrant le principe de l’inviolabilité du territoire dans son triple espace terrestre, aérien et maritime. Théoriquement, le droit international est un droit de coordination et de coopération. Cependant, dans la réalité, les relations entre les grands et les Autres sont caractérisées par le déséquilibre total.  Est-ce qu’aujourd’hui Haïti, pays occupé, peut être un partenaire à part entière pour les Nations Unies dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme ? Est-ce que le vote d’une telle loi ne va pas ouvrir un autre champ encore plus propice à la manifestation de la domination des étrangers sur Haïti ?  Le lecteur avisé, même dépourvu de toute formation juridique et sans même approfondir l’examen du texte, découvrira que les vraies motivations de cette loi seraient, entre autres, le transfert de certaines prérogatives de justice au Pouvoir Exécutif et l’accélération de l’effacement de la souveraineté nationale. Les articles suivants, parmi tant d’autres, en témoignent: « Article 4.- Aux fins de la présente loi, on entend par : 1) Acte terroriste : […] iv) Toute acte destiné à provoquer le décès ou des blessures corporelles, psychologiques graves à une personne ou des personnes. […]. 5) Gel : l’interdiction de transférer, de convertir, de céder ou de déplacer des fonds ou autres titres ayant une valeur numéraire par suite d’une décision prise par autre autorité judiciaire ou par arrêté ministériel, pour une durée déterminée.  Les fonds ou autres titres gelés restent la propriété de la ou des personnes y détenant des intérêts, au moment du gel et peuvent continuer d’être administrés par l’institution financière. […] »  « Article 84.- Les personnes recherchées par un Etat étranger dans le cadre des infractions prévues dans la présente loi ou aux fins de faire exécuter une peine relative à de telles infractions peuvent faire l’objet d’extradition.  L’extradition est exécutée conformément aux procédures et aux principes prévus par les traités d’extradition en vigueur entre l’Etat requérant et la République d’Haïti, sous réserve des dispositions légales et des garanties constitutionnelles protégeant les droits des nationaux ». 

 

A notre avis, le parlement doit se garder de s’aventurer dans le vote de cette loi tant que ces zones d’ombre ne sont pas éclaircies à travers une vraie consultation nationale. Sur le terrain interne, il y a des mauvais présages confirmant la volonté de nos dirigeants de faire revenir le pays au temps des baïonnettes. L’arrestation du député Arnel Bélizaire, les tentatives de vassalisation du parlement, les attaques répétées contre la presse, la corruption et le gaspillage des fonds publics, la personnalisation du pouvoir politique, la distribution d’armes dans la perspective des élections, sont des éléments symptomatiques d’un retour programmé possible à l’ancien régime. Il y a lieu de se demander, enfin,  si cette loi, dans l’hypothèse où elle est votée, ne sera pas utilisée par le pouvoir en place pour tenter de réduire au silence celles et ceux qui se battent pour faire triompher les valeurs républicaines et démocratiques ?

 

Le gouvernement haïtien se dit déterminé à faire voter cette loi pour ne pas être en contravention avec la communauté internationale, en particulier avec les Etats-Unis d’Amérique.  Mais nous tenons à lui rappeler que dans bien de pays, aux Etats-Unis par exemple, on met la plupart des projets et propositions de loi en débat dans les universités et dans les médias avant leur examen et leur vote au parlement.  Pourquoi procéderions-nous différemment chez nous?

 

Pour toutes ces raisons d’opportunité, nous recommandons vivement et patriotiquement à nos collègues de la chambre des députés, de surseoir, quant à présent,  à l’examen de ce projet de loi malheureusement déjà voté et adopté par le Sénat de la République, en attendant que le débat national, indiqué en la circonstance, vienne clarifier les appréhensions légitimes et historiques des uns et des autres.  De toute manière, ce projet de loi ne passera pas tel qu’il est. Les Députés du groupe Parlementaires pour le Renforcement Institutionnel (PRI) et la plupart des membres du groupe Parlementaires pour la Stabilité et le Progrès (PSP) qui ont empêché, chacun à sa manière, qu’il fût adopté à la séance du 14 mars 2013, ne déméritent pas de la Nation.

 

Sadrac Dieudonné

Avocat, Député du peuple

lundi 11 mars 2013

Hugo Chavez et la "politisation de la misère"

Hugo Chavez avait dit à plusieurs reprises qu'il se voyait comme une figure de transition dans l'histoire vénézuélienne. Le temps le dira mais "le chef" – comme beaucoup l'appellent encore aujourd'hui – s'est d'ores et déjà invité au Panthéon des acteurs politiques d'Amérique latine en étant un des premiers à avoir compris et profité de l'explosion des périphéries urbaines du sous-continent.

Sa force est d'avoir très tôt prêté l'oreille au bruit sourd des quartiers délaissés, ces majorités silencieuses issues des barrios champignonnant autour et dans les zones grises des métropoles, et qui ne se sentaient pas représentés par les partis politiques traditionnels. Tribun habile, très vite adulé par les plus démunis et haï par les possédants, le Comandante a su trouver les mots et les gestes pour donner à cette périphérie une expression propre, "canalisant le discrédit des élus et des institutions dans un mouvement de redistribution immédiate des richesses", souligne l'ancien ministre brésilien et diplomate Rubens Ricupero.
L'OR NOIR COMME INSTRUMENT POLITIQUE
C'est là que Hugo Chavez, comme l'explique Alberto Barrera Tyszka, biographe non officiel de l'ancien président, a réussi à "politiser la misère". Là qu'il a mis en place un maillage social étroit, avec une multitude de nouvelles structures qui ont remplacé les services déficients ou inexistant, publics ou privés.
Avec plus de vingt "missions bolivariennes" créées depuis 2003, Hugo Chavez a su utiliser la manne pétrolière comme instrument politique et d'inclusion sociale. Durant ses treize années à la tête du pouvoir, la compagnie publique pétrolière PDVSA a versé 123,7 milliards de dollars aux programmes sociaux. Pour la seule année 2011, ils ont reçu 39,6 milliards de dollars, soit davantage encore que le programme phare brésilien Bolsa Familia (Bourse familiale) – le Brésil compte près de six fois plus d'habitants.
Ce transfert gigantesque de ressources a provoqué un impact négatif sur l'entreprise. De 3,2 millions de barils produits en 2005, PDVSA est tombé à 2,7 millions en 2011. Mais dans un même temps, il fut décisif dans la lutte contre la pauvreté. La proportion de miséreux est passée de 20,3 % de la population en 1998 à 7 % en 2011.
La refondation telle que l'avait formulé Hugo Chavez visait la réinvention d'une démocratie nouvelle, la participation directe et le recours fréquent au référendum populaire, dans "un système de gouvernement", écrit la Constitution de 1999, "où les citoyens sont des sujets actifs et des protagonistes de leur propre destin". Avec, en contrepartie, la possibilité de se représenter plusieurs fois de suite – il avait évoqué sa volonté de rester au pouvoir d'abord jusqu'en 2021, puis en 2030.
TENTATIVE DE RECONSTRUCTION IDENTITAIRE
Même si l'on peut douter que la société vénézuélienne se serait pliée de bonne grâce au désir publiquement annoncé par Chavez de garder les rênes du pouvoir aussi longtemps, son taux de soutien dans les barrios n'a que très peu évolué de son vivant. Malgré l'insécurité galopante, la corruption, l'absence totale de réformes structurelles et industrielles.
Chavez est le peuple. Le peuple est Chavez. Au-delà des slogans de rues, l'ancien président a su faire de sa personnalité une métaphore des nouvelles identités périphériques. Homme-miroir, il a tendu la main à un Venezuela désenchanté. Par calcul peut-être, mais surtout par force et clairvoyance. Par la faiblesse d'une opposition aussi, incapable de comprendre les changements en cours à l'ère de la mondialisation.
Chavez a su incarner une tentative de reconstruction identitaire d'un peuple spolié de sa propre histoire, ravagé par des décennies d'indifférence et d'abandon. Une identité complexe, aux racines mêlées et différentes de celle qui apparaissait alors sur les écrans de télévision. Celle qui semble assumer que la réalité au Venezuela est toujours plus compliquée qu'elle n'en a l'air. Non sans euphorie. Non sans une dose d'ivresse. C'est un peu tout cela que pleuraient ces centaines de milliers d'anonymes descendus pour la plupart des périphéries pour venir voir sa dépouille une dernière fois. L'enivrement prépare des lendemains tristes.

Source Le Monde.fr

Henrique Capriles, chef de l'opposition de centre-droit, officialise sa candidature à l'élection présidentielle au Venezuela!

Face au dauphin désigné du défunt président Hugo Chavez, le président par intérim Nicolas Maduro, le chef de l'opposition,sera confonté dans un  scrutin tres serré. 

Nicolas Maduro, 50 ans, désigné implicitement par Chavez comme son successeur, part favori du scrutin face à Henrique Capriles, 40 ans, battu par le défunt président en octobre dernier.

"Je vais me battre", a déclaré Henrique Capriles au cours d'une conférence de presse. "Nicolas, je ne vais pas vous laisser le champ libre. Vous allez devoir me battre dans les urnes."

"Cela va être difficile mais on va y aller", avait confié à Reuters une source proche du gouverneur de l'Etat de Miranda avant l'officialisation de sa candidature.

La présidente de la commission électorale, Tibisay Lucena, a indiqué que les postulants devaient faire acte de candidature avant lundi soir.

Nicolas Maduro, a prêté serment vendredi devant l'Assemblée nationale comme nouveau président par intérim après les obsèques du charismatique chef de l'Etat. Il a promis de poursuivre la "révolution bolivarienne" initiée par Hugo Chavez.
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Source: Agence Reuters.

 

Le Président a gracié plus de 200 prisonniers

Ministère de la Justice et de la Sécurité publique

   Le Ministère de la Justice et de la Sécurité Publique tient à informer l'opinion publique en général et la presse en particulier que, dans le cadre de ses prérogatives constitutionnelles, le Chef de l'Etat a accordé grâce pleine et entière à certains condamnés de droit commun. Un Arrêté de commutation de peine a été également pris en faveur de quatre(4) femmes condamnées à perpétuité. s'agit d'une mesure de clémence adoptée en leur faveur sur la base des articles 136, 145 et 146 de la Constitution et de la loi du 24 septembre 1860 sur l'exercice du droit de grâce et de commutation de peine, modifiée par celle du 26 juillet 1906. Les bénéficiaires de cette mesure prise par le Président de la République, sur rapport du Ministre de la Justice et de la Sécurité publique, sont les suivants:


A.- ARRETE DE GRACE


A ST-MARC

 1. Dyon ANDRE

2. Augustin ANDRE

3. Ilerdieu DUMAS

4. Renald GUILLAUME

5. Mérité JEAN-LOUIS

6. Samuel(Edner) JOSEPH

7. Fritz Schneider NOSTER

8. Miguel PIERE

9. Marc THELEMARQUE

10. Thélissier THELINORD

11. Elité THOMAS


AUX CAYES

1. Luckner JEAN

2. Anès dit Plaisimond LOUSIMOND

A MIRBALAIS


1. Eliane FAUSTIN

2. André ICHARD

3. Miracin VIXAMA

4. Willy JEAN

5. Wilson CARDICHON

6. Berthony JEREMY

7. Cadet PIERRE

8. Nasson PETIT-JEUNE

9. Jean Roland AUGUSTE

10. Joniel JEUNE

11. Ronald MEME

12. Dieumafait TERLIEN

13. Sebien PYTON

14. Maxonne CEUS

15. Johnny PIERRE

16. Gérôme ROBERT

17. Bernard BAILLARD

18. Petit Fable JONEL

19. Wilner GUERRIER

20. Patrick IRA

21. Sonsonn RENEUS


A CARREFOUR


1. Eleano JOASSAINT

2. Saincibert SATURNE

3. Smith ANTOINE


A PÉTION-VILLE


1. Monique Victoria CHEVALIER

2. Dieudonne GUERRIER

3. Manola MOLINE

4. K.Flore MONTINORD


AU PÉNITENTENTIER NATIONAL


1. Elissaint LAURENT

2. Junior Stevenson PIERRE

3. Jeffrey GUILBAUD

4. Erick PREDVIL

5. Yvener Yvon POLISSAINT

6. Fanel CHEVALIER

7. Watson MERISMA

8. Colonel / Colo MATHIEU

9. Jean Erick PHILOGENE

10. Bernard JOSEPH

11. Ysmael ST CYR

12. Yvenet GEROME

13. Milus CAMELLO

14. Phito LEXIS

15. Rodanes CHARLES

16. Frico PIERRE

17. Fritnel (Rabordaille) JEAN

18. Frenel MEZILIEN

19. Francisco Michel SERGE

20. Andy ALFRED

21. Lesly LAFAILLE

22. Yves Yvon ALPHONSE

23. Robenson ISOF

24. Mike LOUISSAINT


A CROIX-DES-BOUQUETS


1. Nicolas Amaguedon LORMILE

2. Frantzy (Ti chofè) CHARLES

3. Gesner LEREGISTRE

4. Nikel JEAN

5. Mikenson CHOMETTRE

6. Renel PIERRE

7. Luckson ST-FLEUR


A HINCHE


1. Champagne ALCANTE

2. Polius ORTHELA

3. Cheribien GUERVIL

4. Blanco VICTOR


A PETIT-GOAVE


1. Franck BAPTISTE

2. Pierre LOVESON

3. Fica BELGRADE

4. Gesnol dit Tiyoyo LAGUERRE

5. Cherubin CHARLES


AUX GONAIVES


1. Libomet JOSEPH

2. Chanal PRESENDIEU

3. Wadson SERAPHIN

4. Bennet PIERRE

5. Ilet LUCANESS

6. Sidor PASCAL


A FORT-LIBERTÉ


1. Jacsène JEAN-BAPTISTE





A ANSE-A-VEAU


1. Antoissaint HYPPOLITE

2. Jaco PERCENAT

3. Laurent ACCEGUERRE


A PORT-DE-PAIX


1. Claude DUME

2. Billy CHARLES

3. Ulrick FERTIJUSTE


AU CAP-HAITIEN


1. Gustave AMSTRING

2. Reginald BRUTUS

3. Wilner CARELUS

4. Macoris DUGUE

5. Eliphete FERTIL

6. Bendji FRANCOIS

7. Elie GUSTAVE

8. Vernet PIERRE

9. Stevenson ST-FLEUR


A JACMEL


1. Germain ALCENARD.



B.- ARRETE DE COMMUTATION DE PEINE


La peine de six (6) personnes, préalablement condamnées à perpétuité, a été commuée en celle de quinze(15) ans par le Président de la République. Il s’agit de :


1. Clermitha DESSOURCES

2. Genise SAINCERE

3. Marie Claudette PRESUME

4. Denel JEAN

5. Dieunord FRANCOIS

6. Daniel LEONARD


Parallèlement le MJSP œuvre activement à la lutte contre la détention préventive prolongée. Ainsi des audiences correctionnelles se tiennent-elles en permanence dans plusieurs juridictions du pays. A l’occasion de la journée internationale de la femme le 8 mars dernier, quatre (4) femmes, après analyse minutieuse de leur dossier, ont été libérées par le Parquet près le Tribunal de Première Instance de Port au Prince. Il s’agit de :


1. Julie LAGUERRE

2. Stéphanie JEUNE

3. Islande JOSEPH

4. Imelda PAULISCA



Le Ministère de la Justice et de la Sécurité Publique, dans le cadre de l’implémentation de la politique de l’Etat de droit prônée par le Gouvernement Martelly/Lamothe, s’engage à intensifier la lutte contre la détention préventive prolongée sur tout le territoire national.




Me Jean Renel SANON

Ministre

samedi 9 mars 2013

Dans l'attente du courant 24/24 ,l'EDH redynamise son plan Commercial 2012-2013

Vers une redynamisation du reseau electrique,vielle de plus de 25 ans,L’Électricité d’Haïti (EDH) a organise la semaine derniere, une rencontre avec les responsables des agences de la zone métropolitaine.Reunis en atelier , les responsables se sont mis d'accord pour  évaluer, corriger et accélérer un Plan Commercial 2012-2013, afin de mieux satisfaire sa clientèle.
En effet, la Direction Commerciale est appelée à générer 9.1 milliards HTG de revenu en augmentant (1) le taux de facturation de 33% à 54% et (2) le taux de recouvrement de 65% à 95%. Le premier trimestre de l’année, l’entreprise a bien démarré après avoir atteint un pic de 48% de facturation. Malheureusement, depuis lors, plusieurs éléments du nouveau système de facturation entrainent une baisse dévastatrice de ces gains : des compteurs mal lus, pas lus, brisés ; des factures erronées, non-livrées, impayées avec d’énormes arriérées.
L’EDH est reconnaissant et s’est engagé, à cet atelier, à rectifier cette situation. Les agents commerciaux ont donc abordé et discuté les thèmes suivants :
1. La Lecture des Compteurs,
2. La Facturation et Recouvrement des Créances,
3. La Lutte Contre les Fraudes Internes et Externes,
4. L’implémentation des Nouvelles Normes de Branchement, et
5. Le Renforcement des Unités de Gestion et Contrôle.
La performance a été évaluée, les problèmes corrigés et la clientèle devrait bientôt pouvoir constater une amélioration

L’heure nationale sera avancée de 60 minutes ce dimanche 10 Mars 2012

dans une note ,le  Bureau de Communication de la Présidence rappelle à la population que selon les dispositions de l’arrêté présidentiel du mercredi 7 Mars 2012, l’adoption du changement d’heure en fonction des saisons est permanente.
Ainsi, l’heure nationale sera avancée de 60 minutes à partir de 2 : 00 a.m. à chaque deuxième dimanche du mois de Mars, soit ce dimanche 10 Mars, et sera reculée de 60 minutes, toujours à partir de 2 : 00 a.m. au premier dimanche du mois de Novembre, ceci jusqu’à nouvel ordre.
 

vendredi 8 mars 2013

3 Dominicains tues dans un accident de circulation à Morne Tapion




Trois dominicains de la Compagnie Dominicaine » Electro méga » ont perdu la vie ce vendredi, a Morne Tapion,  à hauteur de Petit-Goâve. 

Les freins du Camion qui les transportaient vers le Sud ont lâchés.

 Le corps des trois victimes ont été transportes a la morgue de l’hôpital Notre Dame de Petit-goave après le constat légal du juge de Paix  Léandre jean Jude.

Tamara Orion

La BID satisfait des travaux de la caravane du changement

Le Président de la Banque Interaméricaine de Développement (BID), Luis Alberto Moreno, est satisfait des projets en cours dans le se...